Les Gagnants
GAGNANTS DES BOURSES 2024
En 2024, la Fondation Alter-Ciné a reçu 150 projets documentaires de pays du Sud global.
Nous ne pouvons actuellement révéler le nom de la personne qui réalisera ce documentaire.
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Une première bourse de 10 000 $ est attribuée au projet Rebel Love (Amour rebelle). |
RÉSUMÉ DU PROJET
Ce film explore la vie rebelle des militantes politiques nicaraguayennes Dora María Téllez et Ana Margarita Vijil, en suivant leur parcours depuis l'exil, cicatrisant les blessures émotionnelles laissées par leur emprisonnement en 2021, où elles ont toutes deux vécu une année marquée par la torture physique et psychologique. Au milieu du paysage politique, le documentaire met en lumière les batailles gagnées, en tant que femmes, dans un pays au système profondément machiste, au régime oppressif et violent. Elles se voient revenir au Nicaragua pour reconstruire le pays.
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Rajan Kathet, lauréat d’une bourse de 10 000$ de la Fondation Alter-Ciné
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Le cinéaste népalais Rajan Kathet remporte la deuxième bourse de 10 000 $ pour son projet
Quiet Flows the Bheri River (Le cours tranquille de la rivière Bheri) |
RÉSUMÉ DU PROJET
La rivière Bheri témoigne de la discrimination séculaire fondée sur les castes au Népal. À la suite d'un incident qui a choqué la nation, l'histoire se déroule au sein des communautés concernées le long de la rivière Bheri, captant leurs luttes pour la justice et la résilience. C'est l'histoire d'une bataille épique menée devant les tribunaux, dans les rues et dans l'esprit des gens concernés, de part et d'autre du fossé des castes. Grâce à un accès sans filtre, le film retrace chaque rebondissement de cette affaire, parallèlement à l'histoire intime de préjugés et d'amour, de fragilité et de résilience, de perte et de triomphe, des personnes touchées par ces événements dramatiques.
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Erhan Arik, lauréat d’une bourse de 10 000$ de la Fondation Alter-Ciné
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Une troisième bourse de 10 000 $ est octroyée au cinéaste turc Erhan Arik pour son projet
Our Seeds (Nos semences)
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RÉSUMÉ DU PROJET
Dans le nord-est de la Turquie, un couple d'agriculteurs, qui perpétue une semence ancestrale vieille de 1 500 ans, est confronté au fait qu'il ne peut pas laisser le sort de la semence entre les mains de ses enfants. La foi d'ORUC et de GUNES en la nature est mise à l'épreuve par les rêves de leurs enfants, et l'épreuve s'aggrave lorsque la récolte annuelle est plus difficile que d'habitude. Le climat changeant et incertain, la fragmentation de la famille, la hausse incroyable de l'inflation, l'instabilité politique du pays et les politiques agricoles qui ne soutiennent pas la production, donnent une image sombre de la situation. Il leur est douloureux d'imaginer que la semence familiale sera abandonnée, lorsqu'ils ne seront plus là. Le couple d'agriculteurs commence à chercher d'autres moyens de perpétuer cette semence.
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Michaël Andrianaly, lauréat d’une bourse de 10 000$ de la Fondation Alter-Ciné
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Une quatrième bourse de 10 000 $ est accordée au cinéaste malgache Michaël Andrianaly pour son projet Mande ny Mande (Qui vivra verra)
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RÉSUMÉ DU PROJET
Sonia s’est prostituée pendant près de 30 ans dans les rues de Toamasina, sur la côte Est de Madagascar. À 46 ans, elle est épuisée, inquiète pour sa santé et soucieuse de l’avenir de ses deux enfants adolescents. Elle décide alors de raccrocher et de mener une vie plus stable en montant une petite entreprise de couture. Mais pour lancer sa nouvelle activité il lui faut trouver de l’argent et Sonia est souvent rattrapée par ses habitudes d’oiseau de nuit...
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Gretel Marin Palacio, lauréate d’une bourse de 5 000$ de la Fondation Alter-Ciné
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La cinéaste cubaine Gretel Marin Palacio obtient une bourse de 5 000 $ pour son projet
La tierra espesada (La terre épuisée)
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RÉSUMÉ DU PROJET
L'île sur laquelle je vis est en train de sombrer. La plupart de mes amis se préparent à fuir vers un continent. Je filme en urgence la mémoire douloureuse de ces derniers jours à Centro Habana. Alors que j'entretiens une correspondance écrite avec un ami déjà parti, les événements quotidiens prennent une importance insoupçonnée.
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Francısco Marquez, lauréat d’une bourse de 5 000$ de la Fondation Alter-Ciné
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Le cinéaste argentin Francısco Marquez obtient une bourse de 5 000 $ pour son projet
Un deseo imparable (Un désir irrépressible)
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RÉSUMÉ DU PROJET
L'ouverture d'une école de cinéma publique et gratuite à San Juan, une petite ville d'Argentine située dans une zone désertique, permet à un groupe de jeunes adolescents des milieux ouvrier et paysan de trouver un moyen d'échapper à l'ennui et de rêver à d'autres mondes possibles. Par le biais des entretiens avec ces étudiant.es, des scènes qu'ils filment et de l'enregistrement quotidien de leur vie, le film défend l'idée que l'art doit être accessible à tous.
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Ivonne Serna, lauréate d’une bourse de 5 000$ de la Fondation Alter-Ciné
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La cinéaste mexicaine Ivonne Serna obtient une bourse de 5 000 $ pour son projet
Green Gold (L’or vert)
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RÉSUMÉ DU PROJET
Au cœur du Mexique, les communautés locales sont confrontées à un défi majeur : l'emprise croissante du crime organisé sur l'industrie florissante de l'avocat menace leur environnement et leurs moyens de subsistance. Madero, un village situé sur la ligne de front, voit ses forêts luxuriantes entourées de fermes en pleine expansion. Alors que ces exploitations empiètent sur les terres de Madero, déboisant illégalement et volant les réserves d'eau, un groupe courageux de défenseurs des terres - María, Memo et Julio - riposte, risquant leur vie pour assurer l'avenir durable de leur communauté face à des patrouilles armées qui ne reculent devant rien pour profiter de la ruée vers « l'or vert ».
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Edris Abdi et Warman Saeed, lauréats d’une bourse de 5 000$ de la Fondation Alter-Ciné
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Les cinéastes kurdes d’Iran et de Turquie Edris Abdi et Warman Saeed remportent une bourse de 5 000 $ pour leur projet Childhood in the Mist (Enfance dans le brouillard)
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RÉSUMÉ DU PROJET
Ayham, un jeune Kurde yazidi de 12 ans, a été enlevé par Daech à l'âge de 3 ans, avec sa mère et son frère. Ils ont été libérés au bout de 3 ans, mais la mère d'Ayham, Wazira, est toujours portée disparue. Ayham et son frère vivent avec leur oncle dans une maison à demi construite dans un camp de réfugiés. Ils doivent la quitter une fois terminée, mais ils la décorent pour qu'elle ressemble à leur maison. Ayham s'occupe de chiots dans une autre maison semi-achevée. L’oncle Tahsin veut demander un visa humanitaire, mais Ayham refuse de partir tant qu'il n'aura pas retrouvé sa mère. Malgré ses recherches, Ayham n'a aucune piste et découvre que ses chiots ont disparu. Obligés de quitter leur maison, ils retournent dans celle où se trouvaient les chiots.
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